2 février 2005
(parenthèse)
Ce soir, dans les couloirs de ma correspondance Métro 1 RER D à la
Gare de Lyon, il y avait une petite formation classique à cordes qui
jouait.
Je me suis arrêté pour les écouter. Je me suis adossé au mur den face pour les regarder.
Doù jétais, la scène était surréaliste.
En face de moi, jouait un orchestre. Et entre eux et moi, par intermittente, au rythme du déversement dun métro ou dun RER, défilait une foule de gens pressés. Ils courraient presque. Qui pour attraper le RER de 12, qui pour ne pas être en retard chez la nounou. Ils faisaient tous la gueule, et moi javais un sourire jusquaux oreilles de plaisir.
Je suis resté un bon moment à les écouter. Quel bonheur
Je me suis arrêté pour les écouter. Je me suis adossé au mur den face pour les regarder.
Doù jétais, la scène était surréaliste.
En face de moi, jouait un orchestre. Et entre eux et moi, par intermittente, au rythme du déversement dun métro ou dun RER, défilait une foule de gens pressés. Ils courraient presque. Qui pour attraper le RER de 12, qui pour ne pas être en retard chez la nounou. Ils faisaient tous la gueule, et moi javais un sourire jusquaux oreilles de plaisir.
Je suis resté un bon moment à les écouter. Quel bonheur
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